Pour la réalisation de travaux utilisant la méthode GPS, il est nécessaire de connaître les possibilités qu’offrent le matériel et le logiciel disponible, les procédures d’observations seront arrêtées en conséquence.
Le choix des points nouveaux tiendra compte de la position des points anciens les plus proches
qui entourent le site de travail pour assurer une bonne homogénéité.
Un minimum de trois points anciens est nécessaire, quelque soit le mode d’observation utilisé. Ce nombre de points pourra augmenter selon l’importance du projet. Une bonne configuration géométrique doit être assurée. Si l’immatriculation est très importante dans la zone de travail et
s’il n’existe pas de points géodésiques, le rattachement devra se faire sur des bornes déjà stationnées encadrant le site de travail.
- Le mode statique pourra être utilisé pour les courtes et les longues lignes de base sans
toutefois dépasser les 15 km avec des récepteurs mono-fréquence.
- Le mode statique rapide pour des lignes de base inférieures à 10 km.
Les modes cinématiques Stop & Go ou pseudo-cinématique pour le levé des bornes et
des détails des propriétés. Dans ces cas, les lignes de base doivent être inférieures à 1 km.
(conservation du signal, du repère sous-terrain et des bornes etc...) ainsi que de l’homogénéité du
réseau (même système). Pour cela, des sessions d’observations par GPS pourront être consacrées
aux points d’appui, et leur traitement immédiatement effectué.
Le contrôle des points d’appui se fera sur la base de la comparaison des écarts entre les anciennes
et les nouvelles coordonnées obtenues successivement à chaque fois qu’on fixe les coordonnées
d’un ou plusieurs points.
leur conservation, faciliter leur accessibilité tout en essayant d’assurer l’intervisibilité entre les
points du réseau afin de pouvoir les réutiliser lors d’opérations topographiques ultérieures par des
méthodes de levé conventionnelles. Ces points doivent être éloignés des lignes de haute tension,
des endroits à haute densité magnétique, des stations hertziennes et des surfaces réfléchissantes.
En outre une vue dégagée doit être assurée à partir de 15° d’élévation.
-Tenant compte des résultats de la reconnaissance, le projet définitif est dressé et les procédés
d’observation sont arrêtés
- Mode statique lorsque les lignes de base sont supérieures à 10 km et mode statique
rapide lorsque les lignes de base sont inférieures à 10 km.
-Une bonne exécution nécessite
-une bonne conception du projet
-une bonne préparation et une bonne planification de la mission;
-une utilisation rationnelle des récepteurs GPS;
-une maîtrise du logiciel de traitement des données.
-une bonne conception du projet
-une bonne préparation et une bonne planification de la mission;
-une utilisation rationnelle des récepteurs GPS;
-une maîtrise du logiciel de traitement des données.
1-ETUDE ET CONCEPTION DU PROJET
1-1 Etude et établissement de l’avant projetPour l’élaboration de l’avant projet de rattachement et/ou de levé il faut disposer des documents suivants:
- La carte topographique,
- la liste des coordonnées des points géodésiques,
- les mappes cadastrales de la zone.
- les mappes cadastrales de la zone.
Il est procédé au report des points géodésiques et au repérage des affaires à lever sur les cartes topographiques et les mappes cadastrales.- la liste des coordonnées des points géodésiques,
- les mappes cadastrales de la zone.
- les mappes cadastrales de la zone.
Le choix des points nouveaux tiendra compte de la position des points anciens les plus proches
qui entourent le site de travail pour assurer une bonne homogénéité.
Un minimum de trois points anciens est nécessaire, quelque soit le mode d’observation utilisé. Ce nombre de points pourra augmenter selon l’importance du projet. Une bonne configuration géométrique doit être assurée. Si l’immatriculation est très importante dans la zone de travail et
s’il n’existe pas de points géodésiques, le rattachement devra se faire sur des bornes déjà stationnées encadrant le site de travail.
1-2 Choix préalable des procédés d’observationsAprès approbation de l’avant projet, le mode d’observation est arrêté en fonction de la longueur des lignes de base:
- Le mode statique pourra être utilisé pour les courtes et les longues lignes de base sans
toutefois dépasser les 15 km avec des récepteurs mono-fréquence.
- Le mode statique rapide pour des lignes de base inférieures à 10 km.
Les modes cinématiques Stop & Go ou pseudo-cinématique pour le levé des bornes et
des détails des propriétés. Dans ces cas, les lignes de base doivent être inférieures à 1 km.
2- RECONNAISSANCE ET MATERIALISATION
2-1 Reconnaissance des points d’appuiCette reconnaissance a pour objet de s’assurer de l’existence et de la stabilité des points d’appui
(conservation du signal, du repère sous-terrain et des bornes etc...) ainsi que de l’homogénéité du
réseau (même système). Pour cela, des sessions d’observations par GPS pourront être consacrées
aux points d’appui, et leur traitement immédiatement effectué.
Le contrôle des points d’appui se fera sur la base de la comparaison des écarts entre les anciennes
et les nouvelles coordonnées obtenues successivement à chaque fois qu’on fixe les coordonnées
d’un ou plusieurs points.
2-2 Reconnaissance des propriétés à leverPour la conception du projet de rattachement et de levé, il est procédé à la reconnaissance des propriétés à lever et des propriétés riveraines déjà levées.
2-3 Choix de l’emplacement des points nouveauxL’emplacement des points nouveaux doit être choisi, autant que possible, de manière à garantir
leur conservation, faciliter leur accessibilité tout en essayant d’assurer l’intervisibilité entre les
points du réseau afin de pouvoir les réutiliser lors d’opérations topographiques ultérieures par des
méthodes de levé conventionnelles. Ces points doivent être éloignés des lignes de haute tension,
des endroits à haute densité magnétique, des stations hertziennes et des surfaces réfléchissantes.
En outre une vue dégagée doit être assurée à partir de 15° d’élévation.
2-4 MatérialisationLes points nouveaux seront matérialisés selon les instructions en vigueur. Une fiche signalétique ou de repérage est établie pour chacun des points matérialisés.
3-PROJET DEFINITIF ET ADOPTION DES PROCEDES D'OBSERVATIONSTenant compte des résultats de la reconnaissance, le projet définitif est dressé et les procédés d’observation sont arrêtés
-Tenant compte des résultats de la reconnaissance, le projet définitif est dressé et les procédés
d’observation sont arrêtés
- Mode statique lorsque les lignes de base sont supérieures à 10 km et mode statique
rapide lorsque les lignes de base sont inférieures à 10 km.
Il est recommandé que les lignes de base forment des polygones fermées ( boucles ) pour des besoins de contrôle. 4- PLANIFICATIONLe logiciel de planification comprend des options permettant, après introduction des coordonnées géographiques du site du travail, de générer pour une période donnée, des documents renseignant sur le nombre de satellites visibles et leurs PDOP ainsi que leurs azimuts, leurs élévations, les changements de constellation, la vue céleste, etc... Sur la base de ces documents, il est procédé au choix des périodes convenables à la collecte des observations et à la programmation des sessions d’observations. 5- OBSERVATIONS Précautions à prendre avant de procéder aux observations Collecte des observations Levé des bornes et des détails. 6- TRAITEMENT ET CONTRÔLE
exigées pour l’établissement des points de rattachement et de levé des plans cadastraux . L’erreur maximale permise sur les coordonnées des points de rattachement ne doit pas dépasser 10 cm. L’écart maximal permis entre les deux déterminations des coordonnées des bornes est de 4 à 5 cm en milieu urbain et 10 à 15 cm en milieu rural. |
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